Dépendance affective : les dessous d'un fake - Psychothérapie à avignon

La dépendance affective, ça n’existe pas. Point !...

Contrairement à ce qu’on peut lire partout, la dépendance affective n’existe pas plus que celle aux haricots verts !

Et pourtant, combien d’articles, de "conseils", de pseudo-diagnostics circulent sur le sujet ?

J’ai même vu des "professionnels" afficher qu’ils la traitent… sauf qu’en psychopathologie clinique, elle n’existe pas.

Alors, de quoi parle-t-on vraiment ?

Un mythe qui vous enferme au lieu de vous libérer

Derrière ce terme fourre-tout, on trouve en

réalité :

• Une difficulté à quitter l’autre → habitude, bénéfice secondaire, emprise, syndrome de Stockholm ?

• Une difficulté à être seul → blessure d’abandon, manque d’expérience à l’autonomie et à l’indépendance, croyances, traumatisme passé, affirmation de soi ?

• Des renoncements à sa liberté → besoin d’un "gourou" qui pense à votre place, passivité, soumission, pression familiale et sociale ?

• Des peurs, des traumatismes, des conditionnements…

• Et parfois, simplement… être amoureux !

Voilà tout ce que l’on range sous "dépendance affective".

Mais cette étiquette n’aide pas à comprendre, encore moins à avancer.

"Je suis dépendant affectif" = excuse ou vraie difficulté ?

Se dire "dépendant affectif", c’est parfois se donner une excuse :

• Une excuse pour ne pas affronter ce qui bloque vraiment.

• Une excuse pour ne pas bouger, par peur de ce qu’on pourrait découvrir sur soi.

• Mais la vraie question, c’est : veux-tu rester enfermé(e) dans cette croyance ou reprendre ton pouvoir ?

Arrête de chercher un sauveur, personne ne viendra !

La bonne nouvelle ? Tu as le contrôle.

Oui, c’est inconfortable au début. Oui, ça demande de sortir de ses illusions.

Mais derrière, il y a une liberté immense qui t’attend.

🔹 Identifier tes vrais blocages,

🔹 Les comprendre, les dépasser,

🔹 Reprendre confiance en toi, en ta capacité à avancer seul(e),

Ce travail se fait en thérapies brèves : efficaces, concrètes, qui va à l'essentiel.

Reprends le contrôle : tu n’as besoin de personne (sauf de toi)

"Si tu vois deux fois le même arbre dans la forêt, c'est que tu es perdu !" Proverbe amérindien.

Marre de tourner en rond avec ce faux problème ?

Une séance pour faire le point ! Ensuite, c’est toi qui choisis ce que tu veux en faire.

• Prendre rendez-vous et passer à l'action, reprendre ta vie en main

• ou... faire comme si tu n'avais jamais lu cet article et continuer d'entretenir la légende : ta vie t'appartient, ton gâchis aussi...

  
  

À bientôt.

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